“Esta exposición de Suqui Castro se compone de 10 fotografías entresacadas de un par de viajes a Oriente, a la Península de Kamchatka (2014) y a Japón (2015).
La Península de Kamchatka es un lugar bello y de clima rudo. En invierno hace un frío de mil demonios y en verano los mosquitos te disparan como si navegases por los manglares del Yucatán. Un lugar de volcanes y granjas, de gente más bien bajita y achinada, realmente amigables.
Un Pachinko en sentido laxo es un gran supermercado de maquinitas de juego y ocio que se puede encontrar en las grandes ciudades japonesas. Ruido, luces, premios de colorines y tesoros con aspecto manga, que hacen las delicias de los comedores de pescado.
Pachinko o Pachanga, la extraña conexión entre una katana y una navaja de Taramundi, de un cocido extraproteico y graso salido de los fogones de Kamchatka a un buen plato de callos de Astorga.
10 fotografías, debidamente abrillantadas, que nos recuerdan al futuro, un viaje al culo de Marte, para descubrir finalmente que somos tod@s bastante iguales y que la belleza es lo único que importa en un mundo tan feo y en una noche tan oscura.”
El Angelito, Octubre 2016.
« Cette exposition de Suqui Castro est composée de 10 photographies tirées de deux voyages en Extrême-Orient : à la péninsule du Kamchatka (2014) et au Japon (2015).
La péninsule du Kamchatka est un bel endroit, avec un climat rude. En hiver, il fait un froid de canard et, en été, les moustiques attaquent comme si l’on naviguait au long des mangroves du Yucatan. Une terre de volcans et de fermes, de gens plutôt petits, aux traits asiatiques et vraiment amicaux.
Un pachinko est grosso modo un grand supermarché de machines à sous que l’on peut trouver dans les grandes villes japonaises. Du bruit, des lumières, des récompenses aux couleurs criardes, des trésors ayant un aspect de manga, font les délices des mangeurs de poisson.
Pachinko ou pachanga, l'étrange connexion entre un katana et un couteau de Taramundi, un pot-au-feu gras et ultra-protéiné sorti des cuisines du Kamchatka et un bon plat de tripes d’Astorga.
10 photos, bien satinées, qui nous rappellent l'avenir, un voyage aux fins fonds de Mars, pour découvrir finalement que nous sommes tous plutôt égaux et que la beauté est la seule chose qui compte dans un monde si laid et dans une nuit si sombre. »
El Angelito, octobre 2016.
